Ainda sobre a agitação social em França.
Depois de assistir ao modo descontraído como, em pleno centro de Paris, alguns turistas (e mesmo, espanto! alguns parisienses) respondiam às perguntas feitas por um jornalista de uma cadeia de televisão sobre as convulsões sociais em França, como se os acontecimentos nocturnos se passassem num outro e distante País, pergunto-me o porquê da nossa preocupação, e digo cá para comigo, como Dutronc:
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie!
E continuo a ouvi-lo
É que esta canção escrita por ele há tantos anos, podia tê-lo sido nestes dias.
Et moi, et moi, et moi
Avec ma vie, mon petit chez moi
Mon mal de tête, mon psi
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie
[…]
Trois ou quatre cent millions de noirs
Et moi, et moi, et moi
Qui vais au brunissoir
Au sauna pour perdre du poids
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie
[…]
Neuf cent millions de crève la faim
Et moi, et moi, et moi
Avec mon régime végétarien
Et tout le whisky que je m'envoi
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie
[…]
Cinquante millions de vietnamiens
Et moi, et moi, et moi
Le dimanche à la chasse au lapin
Avec mon fusil, je suis le roi
J'y pense et puis j'oublie
C'est la vie, c'est la vie
[...]
Como vês, não eram só os Cactus. O homem continua actual.
Foto de Arnaud Frich (galleria a visitar sem hesitação)
fioss
Casti